- EAN13
- 9791037031693
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 25/10/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Mes Loisirs, ou Journal d'événemens tels qu'ils parviennent à ma connoissance (1753-1789), Volume 9
(1786-1787)
Siméon-Prosper Hardy
Hermann
Autre version disponible
-
Papier - Hermann 52,00
Un point de non-retour ? La crise économique semble n’avoir jamais été aussi
aiguë. Dès le début de l’année 1786, la rue gronde. Parmi les travailleurs les
plus humbles de la capitale, les gagne-deniers exigent que le roi entende
leurs doléances : ils crient à l’injustice, et se soulèvent. À l’hiver et au
printemps 1787, l’Assemblée des notables se réunit et s’efforce d’alléger la
détresse budgétaire à laquelle est confronté le royaume. Comment redresser les
finances de l’État ? Pour la première fois, le Journal évoque la convocation
des États généraux. Siméon-Prosper Hardy avait été singulièrement préoccupé
par la « révolution Maupeou » des années 1771-1774. Dans ce volume,
l’observateur de la rue Saint-Jacques retrouve ce ton d’inquiétude grinçante
pour suivre, avec la plus scrupuleuse attention, les tensions qui s’aggravent
à la Cour, au Parlement et sur les places publiques de la capitale. Ses
registres révèlent un monde qui étouffe. Incertain des remèdes à adopter,
Hardy s’attache à relever avec une rigueur impitoyable tous les symptômes de
la maladie.
http://journaldehardy.org/
aiguë. Dès le début de l’année 1786, la rue gronde. Parmi les travailleurs les
plus humbles de la capitale, les gagne-deniers exigent que le roi entende
leurs doléances : ils crient à l’injustice, et se soulèvent. À l’hiver et au
printemps 1787, l’Assemblée des notables se réunit et s’efforce d’alléger la
détresse budgétaire à laquelle est confronté le royaume. Comment redresser les
finances de l’État ? Pour la première fois, le Journal évoque la convocation
des États généraux. Siméon-Prosper Hardy avait été singulièrement préoccupé
par la « révolution Maupeou » des années 1771-1774. Dans ce volume,
l’observateur de la rue Saint-Jacques retrouve ce ton d’inquiétude grinçante
pour suivre, avec la plus scrupuleuse attention, les tensions qui s’aggravent
à la Cour, au Parlement et sur les places publiques de la capitale. Ses
registres révèlent un monde qui étouffe. Incertain des remèdes à adopter,
Hardy s’attache à relever avec une rigueur impitoyable tous les symptômes de
la maladie.
http://journaldehardy.org/
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